L’esprit se grave des colères
de n’avoir su du vent nommer de l’air
la transparence des nues
au voile d’invisibles caresses de peau nue
de n’avoir pu dire
au-delà des silences aux timbres étouffés
les intentions de la plume murmurées
De ces mots aux doigts brûlés de ne pouvoir l’écrire
Des cendres se couvre l’esprit
quand le parfum ne sait des roses goûter le fruit
© Alain MORINAIS
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