Le soleil donne à la vitre des éclats heureux
Le vent danse avec les branches à faire des envieux
Vu d’ici la cité a les silences de façade immobile
Tout semble pour le mieux
Au-delà de l’image
Le monde se tord
Et le poids de l’air ne respire que chargé de pierres
mêlées des corps à mâcher des cailloux
Quelques hommes s’approprient la lumière
au prix du sang noyant la terre
La cité a les silences de façade immobile
© Alain MORINAIS
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