La nuit dans un bagage sans mémoire
Le vent des cendres comme seul accessoire
Le temps immobile dans l’infini
Des ombres d’étoiles sans lune
Qu’un vide sans fond accroche au ciel
Toujours plus haut
L’oiseau se brise les ailes
Sous le poids des larmes de l’enfant
La peur les yeux ouverts
Sur l’abîme des jours perdus
© Alain MORINAIS
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