Il n’est de mot à se croire certain
Les yeux à regarder n’osent plus voir
Les épaules se penchent à chercher où poser les pieds
Sans trouver les mains à marcher ensemble
Comme une jument triste au pré du bout du temps
Ne voit plus au-delà des haies en lisière de pacage
Comment croire en d’autre ailleurs
La lumière du noir dégoulant des rayons
Il n’est de mot à se croire certain
Ni de futur à vraiment se connaître
© Alain MORINAIS
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