Avalés de l’oiseau gorgés de lumière
Arpégés d’un ciel désaccordé des pavés
Aux pas alentis de l’amer
Se forgent de rires les nerfs
Fardé d’envie d’un monde à l’envers
Le vent tait les larmes des pierres
De la rivière nue d’un hiver tôt fané
Les rives frissonnent des enfants apeurés
© Alain MORINAIS
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