J’ai connu ce temps au sourire à venir du printemps
L’horizon d’un autre regard donnait de la marche l’envie
L’aurore des lendemains les promettait de lumière certains
Quand les yeux se croisaient en chemin de gasper
Ignorant les débords des fossés
Dégoulant déchausser le béton des rêves
À l’orée du futur
Quand demain n’a plus l’heure
Les épaules n’ont de l’océan les largeurs
Et la ligne du bout des mers se fracture
© Alain MORINAIS
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